Dans un article publié le 23 octobre sur son site Internet, le quotidien français LIBERATION nous informe que: « Pour démêler ces histoires de gros sous, le «joker» de Van Ruymbeke s’appelle Daniel Devaud. Ce magistrat genevois est chargé des vérifications bancaires qui doivent révéler l’usage des fonds sortis d’Elf. Car les juges s’interrogent sur deux autres versements de 10 millions de dollars chacun, destinés, aux dires des anciens dirigeants d’Elf, à deux présidents africains, le Gabonais Omar Bongo et le Togolais Gnassingbé Eyadéma, qui peuvent difficilement être mis en examen. »
Lire l’article intégral dans www.liberation.fr
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