Selon nos sources à Washington, le Secrétariat Général de l’ONU n’a pas accédé à la demande des autorités togolaises d’envoyer des observateurs pour superviser les législatives du 27 octobre 2002 au Togo parce que les autorités togolaises n’ont pas respecté l’Accord Cadre de Lomé (ACL) qui prévoyait des élections législatives anticipées et l’abandon du pouvoir par le président Gnassingbé Eyadéma à l’issue du scrutin présidentiel de 2003.
LTG 241002
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