Acte Politique de la Francafrique et les Réseaux occultes pour les Elections présidentielles et la Gestion Macroéconomique en Afrique
De la manipulation de la vie des africains et à l’euthanasie sociale et politique. Un des traits les plus étonnant des penseurs de notre époque est qu’ils ne se sentent pas du tous liés ou du moins ne satisfait que médiocrement aux règles jusque-là en vigueur de la logique, notamment au devoir de dire toujours précisément avec clarté de quoi l’on parle, en quel sens on prend tel ou tel mot, puis d’indiquer pour quelles raisons on affirme telle ou telle chose etc.
En ce qui concerne chacun de nous, il n’y a pas de doute que, sur l’euthanasie, nous ayons tous une opinion, voire des certitudes qui sont fortes et à priori, toutes aussi respectables les unes que les autres.
Le sens du travail que je voudrais entreprendre avec vous ici, c’est un exercice pour tenter de sortir de l’ordre de l’opinion pour une contribution non dogmatique au problème.
Pourquoi ?
L’opinion depuis les anciens philosophes comme « Platon, Aristote » n’est pas porteuse de vérité. En plus une opinion en vaut une autre. Ce qui fait qu’à une opinion on a toujours opposé une autre notamment ce qui se passe aujourd’hui au Togo et partout en Afrique. Les dirigeants néofrancafrique avec la complicité d’autres pays de la région qui reçoivent les ordres de la Francafrique et ses réseaux peuvent donner leur contribution à rassembler dans les grandes villes africaines où leur candidat se déplace pour faire l’appoint du peuple manquant, l’envoi des populations en déplacement régulier, venant de Ghana, du Bénin, de la Côte d’Ivoire, de Niger, du Mali, du Togo, du Gabon, du Congo, du Tchad, de la Centrafrique, de l’Angola, etc etc pour sauver l’un des fils, un initié de leur milieu en perte de vitesse dans son district ou son pré carré.
Un noir c’est un noir qu’il soit de la sous région ou du Togo, c’est après tout un noir. On avait assisté à cette doctrine sous le général DE GAULLE au niveau des Nations unies pour le vote à l’assemblée onusienne. La France avec une seule voix se retrouve avec 16 voix en plus qui sont des votes systématiques des pays francophones de l’Afrique. Cela a permis à la France de parler d’égale à égale avec les Etats-Unis, la Chine, l’URSS et la Grande Bretagne.
Pour aller plus loin dans mon raisonnement, je voudrais proposer une pensée discursive, c’est à dire une pensée qui établit, qui démontre, qui prouve ce qu’elle en ce faisant nous installe dans l’ordre de l’objectivité.
Et à mon sens c’est le minimum que l’on peut attendre d’une délibération sur la pensée, les débats, sur comment éviter le naufrage de nos populations à travers la famine, la malnutrition, Les maladies, le défaut d’éducation, le manque de soins, le manque de la bonne gestion macroéconomique de nos états, et la non-réunification des états africains dans le processus mondial de regroupement.
Ce minimum de conclusion doit être autre chose qu’une profession de foi, aussi respectable soit-elle. Le travail doit être l’élément moteur de cette dynamique. Par conséquent un véritable travail de réflexion critique et exigent devrait convenir à une contribution exogène du traitement du mal africain.
POSITIONNEMENT :
Nous devons déterminer notre position en évitant de servir les intérêts des réseaux de la francafrique avant notre population. Tous les pays occidentaux, notamment la France cherche d’abord et en premier lieu le bien être de la population française. Il n’y a qu’en Afrique où nos dirigeants servent le reste de la nourriture à leur population quand les visiteurs sont rassasies à satiété et après avoir passé plusieurs fois aux « vomitoriums » comme autant des romains. Nos actions et nos productions doivent être en priorité au service de nos peuples.
Nos pensées doivent servir d’abord le bien-être de nos populations en matière de recherches scientifiques, de développement, d’intégration régionale, de culture pour la valorisation de nos patrimoines, du tourisme etc etc etc.
INTERROGEONS-NOUS SUR LA FRANCAFRIQUE.
D’aucuns prétendent que la francafrique est un acte d’euthanasie politique africaine, une solution sociale, mais pour d’autres ce serait une solution finale comme celle de Hitler.
En effet par une sorte de réminiscence historique de la néocolonisation, la formulation « solution sociale » fait écho à la « solution finale » raciale de Hitler à l’endroit des juifs, comme la francafrique à l’endroit des populations africaines.
De l’esclavage, à la colonisation, et de la néocolonisation à la francafrique, un problème récurrent d’accompagnement à la mort les populations africaines.
Tout a été essayé, la vente de l’être humain comme gibier sur les marchés, l’acculturation, l’humiliation, le mépris, et maintenant l’asservissement de nos populations par quelques-uns des nôtres appelés sur le vocable de « dictateurs » dont l’occident seul possède la clé de leur nomination à la tête de nos pays.
Ils ont une feuille de route :
*La satisfaction maximale de leurs intérêts.
*Maintenir les populations africaines dans le sous développement
*Refus de construction d’infrastructures(Hôpitaux, routes, écoles, usines)
*Refus de créer des centres de loisirs et de sports pour la jeunesse et la population
*Refus de créer des centre de formation, de stage pour valoriser les compétences
*Refus de transfert de technologies nouvelles
*Refus de politique d’agriculture conforme aux alimentations de base de nos populations
*Créer une politique de divisions sur le régionalisme afin de favoriser les guerres tribales.
*Arrestations arbitraires et assassinat des cerveaux africains nationalistes.
Les dictateurs qui ont accepté cette feuille de route oublient eux-mêmes qu’ils sont africains et meurent tous de maladies que les hôpitaux de leur pays ne peuvent pas guérir, parce qu’ils n’ont pas pensé former et construire des hôpitaux.
Heureusement pour les Africains, ils ont échoué tous à travers leurs plans vils et répréhensibles, mais continuent à voler les matières premières en Afrique et semer partout la division.
La conceptualisation des actes de la francafrique.
Réfléchir sur la francafrique avec ses réseaux, discourir sur la notion, tenter de la conceptualiser, en faire un objet de pensée et se rendre compte à bon escient que s’agissant de la mort des populations africaines ou du sous développement chronique des pays africains, quoi qu’on pense, on se trouve nécessairement devant un problème de société, de plans macroéconomiques de la France. Nos dirigeants choisis par nos populations doivent désormais penser à la souffrance de leur peuples.
La solution sociale et la solution finale.
On découvre depuis la guerre de BIAFRA. La solution finale proposée par la francafrique pour se donner une bonne conscience, après tant de morts dans une guerre initiée par la France pour le pétrole, en choisissant un officiant biafrais pour commettre ce génocide contre son propre peuple ou au RWANDA.
On voit à la télévision des médecins du monde, des pharmaciens du monde, des lancements de vivres par des hélicoptères à ces populations pour soulager leur souffrance momentanée, alors qu’ils savent qu’ils mourront tous dans le temps par des maladies atroces développées par la guerre et par manque de sanitaires et d’hôpitaux.
CONCLUSION :
L’acte de la francafrique comme solution finale, cela est incompatible avec le développement des nos états et les idéaux de ceux qui partagent l’humanisme comme un élément fondamental du développement humain dans le concert des nations. Est-il nécessaire de se poser la question sur cet acte d’euthanasie de la francafrique pour freiner le développement de l’Afrique ?
L’Afrique et notamment les pays francophones, doivent sortir de ce piège en permanence, pour trouver une solution aux maux tels que « la misère, la souffrance, la faim, la guerre, l’exploitation, le sida, le manque d’eau, l’absence du minimum vital, les routes, les écoles, la tolérance, » pour bâtir une société vivante et viable après tant de siècles de cruauté occidentale.
Par Jacob ATA-AYI
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